L'équipe du Comtat Venaissin à l'accueil.

Le buffet du "Carrefour des Provinces".

Le chapitre est lancé dans la fraternité et la convivialité.

Vue du Palais des Papes depuis notre centre d'hébergement à Villeneuve-lez-Avignon.

Les premières fortifications d'Avenio furent édifiées sous la colonisation romaine au Ier siècle. Une évolution notable dans les fortifications date du XIIe siècle. Ils furent édifiés autour de la ville, pour la protéger, une double enceinte avec fossés qui correspondait au tracé de l'enceinte romaine. Avec l'installation des papes à Avignon, la cité s'agrandit et des faubourgs se construisirent à l'extérieur des murs.

Vue sur la cathédrale Notre-Dame-des-Doms, située entre le rocher des Doms et le palais des papes. De style roman provençal, elle date de 1150, puis fut agrandie aux XIVe et XVIIe siècles par des chapelles latérales.

Ce chef-d'œuvre de l'art roman provençal possède plusieurs pièces d'art, sculptures mais aussi mobilier.

Monsieur le chanoine Daniel BREHIER nous accueille et commente l'histoire de cette basilique.

Le groupe quitte la basilique pour rejoindre notre guide-conférencière pour la visite du Palais des Papes.

La célèbre cour intérieure du Palais des Papes.

Les Armoiries de Clément VI au-dessus de la Porte des Champeaux.

Porte du XIIIe siècle.

Pendant plus de deux heures, notre guide conférencière va nous faire partager ses remarquables connaissances sur l'histoire des Papes en Avignon.

La salle du Grand Tinel désigne l'ancien grand réfectoire ou salle des festins. Cette pièce, aux proportions impressionnantes puisque très haute de plafond et couvrant 48 mètres de long sur 10,25 mètres de large, était aussi utilisée lors des conclaves. Son lambris était recouvert, au XIVe siècle, d'étoffe bleue parsemée d'étoiles figurant la voûte céleste.

Les deux fauconniers de la chambre du cerf.

Située au deuxième étage de la tour Saint-Jean, la chapelle Saint-Martial retrace par ses peintures les points forts de la vie de saint Martial. Elle fut réalisée par Matteo Giovannetti de Viterbe entre 1344 et 1345.

Nous cheminons entre rues et ruelles pour rejoindre le pont...d'Avignon.

Notre guide nous raconte la légende et l'histoire de la construction de ce pont, mondialement connu.

Nous sommes allés jusqu'au bout mais nous n'avons pas eu le temps de...danser.

Large d'à peine 2,5 mètres, le pont prenait appui sur l'île de la Barthelasse où se trouvaient de nombreuses guinguettes au XIXe siècle : on dansait donc sous et non « Sur le pont d'Avignon » comme le raconte la chanson, à moins que celle-ci ne fasse référence non pas au pont de Saint-Bénezet en partie détruit depuis le XVIIe siècle mais à son remplaçant en bois édifié un peu plus loin, en 1811, sur le site de l'actuel pont Édouard Daladier.

Vue depuis le pont Saint-Bénézet.

Le groupe au pied du portail monumental de la charteuse Notre-Dame-du-Val-de-Bénédiction à Villeneuve-lez-Avignon.

L'allée des muriers conduit à l'ancien logis du prieur où se trouve actuellement l'accueil des visiteurs.

Cette église dénommée Saint-Jean-Baptiste, puis Sainte-Marie, a été édifiée par le pape Innocent VI. À sa création (1353-1356) elle ne comportait qu'une unique nef et trois travées, ce qui était suffisant pour les douze pères et les frères. Cette église sera agrandie une première fois en 1360-1361 pour abriter le tombeau de ce pape avec la construction au sud de l'église d'une nouvelle abside pentagonale et d'une travée de nef. Cette construction sera prolongée en 1363-1365 par la réalisation d'une deuxième et troisième travée. Enfin, en 1372, à l'ouest des deux nefs, sera réalisée une troisième travée réservée au chœur des convers.  L'église a perdu au XIXe siècle son abside qui s'est effondrée. L'ensemble offre un spécimen typique de l'art des maîtres tailleur de pierre avignonnais du XIVe siècle. Certaines pierres du mur latéral portent des signes divers qui sont en fait la signature des maçons (des marques de tâcheron), ce qui permettait de les payer en fonction du travail effectué. Les doubleaux et les nervures retombent sur des culots sculptés.

Marc Pairet explique le rôle de la corde à neuf noeuds dans la construction des édifices.

Marc démontre que l'on peut résoudre....

....la quadrature du cercle.

La salle du chapitre.

La bugade, pièce où l'on lavait le linge, a été restructurée au XVIIe siècle. Elle ouvre sur la prison, composée de sept cellules, trois au rez-de-chaussée et quatre à l'étage. D'une surface de 12 m2 environ, les cellules sont dotées d'une cheminée. Certains pères demandaient à séjourner dans ces cellules en pénitence ou par mortification. La prison accueillait également à la demande de l'évêque les membres du clergé séculier qui avait commis des délits. Dans les murs ou voûtes de chaque cellule, une lucarne est aménagée qui pointe vers un autel situé dans une chapelle à l'étage, ce qui permettait au prisonnier de suivre l'office.

Chambre d'une cellule. À côté de l'entrée de chaque cellule, une petite porte de bois sert de passe-plat. Le passage est ménagé dans le mur de façon oblique, de sorte que les frères ne pouvaient pas se voir et n'étaient pas tentés de se parler. Chaque cellule se compose de trois pièces : on pénètre par l'Ave Maria, dotée d'une cheminée et d'un oratoire, qui communique avec une chambre (cubiculum) et une pièce consacrée aux travaux manuels. Un balcon couvert et un jardin complètent le lieu de vie du père chartreux.

La chapelle, ainsi que le tinel avec lequel elle communique, appartient au palais que s'était fait construire Étienne Aubert après avoir été élu pape. Les murs de l'abside ont conservé de belles fresques réailisées par Matteo GIOVANNETTI, peintre attitré de Clément VI et Innocent VI. Représentation de la Visitation.

Le cloître Saint-Jean est situé à l'emplacement de l'ancienne cour du palais du cardinal Aubert. Après qu'il eut été détruit par un incendie, le petit neveu d'Aubert y installe douze cellules de moines. Le centre du cloître est occupé par une fontaine qui distribuait en eau l'ensemble de la chartreuse. Depuis le bassin de la fontaine, une canalisation alimentait, en sous-sol, le cloître des morts, la cour du sacristain et le quartier des convers. Le bassin, couvert d'un édicule de la fin du XVIIIe siècle, date du XVIIe siècle.

Cérémonial d'ouverture en début de l'assemblée générale.

Vue de l'assistance durant l'assemblée générale.

Apès l'AG, il est temps de partager dans la bonne humeur, le dîner.

Soirée détente dans l'univers de l'Illusion.

A la tombola, au profit de notre caisse de solidarité....les gagnants sont nombreux !!

Visite du Chais du domaine Saint-Pierre d'Escarvaillac.

Est-il besoin de commenter ?

Le déjuner provencal pris dans la salle du XIIe siècle, concocté par le chef Jean-Marc Larrue. Entrée...

Plat....

Dessert...

Un moment particulier : Revêtir l'habit de pèlerin dans le parking...

Grand moment du chapitre 2018 : Bénédiction de la plaque marquant le km "zéro" de la Via Avenio par Monsieur le chanoine, Daniel Bréhier.

La pluie a, un peu cessé, le temps de prendre cette photo...

Les Jacquets lors de l'office religieux du 1er novembre à la basilique métropolitaine Notre-Dame-des-Doms.

Notre confrère Jean-Philippe lit une épître.

A la fin de l'office, les Jacquets de France quiitent la basilique, précédés de M. le Chanoine Daniel Bréhier et de leur bannière.

Quels symboles !! la coquille et le buste de Saint-Jacques mis à l'honneur en ce 1er novembre 2018 en la basilique métropolitaine ND-des-Doms en terre de Comtat Venaissin.

Un grand et beau moment du chapitre : la bénédiction de notre bannière.

Les Jacquets de France entourent M. le chanoine Bréhier dans le coeur de la basilique à la fin de la cérémonie.

Le chapitre 2018 prend fin.